Dans le cadre des Insolivres, le public en a eu pour ses
oreilles à la Médiathèque de Nilvange avec la compagnie Le Bruit qu’ça coûte.
Immersion sonore avec
le cabinet de massage des petites oreilles
Le cabinet de massage des petites oreilles |
Confortablement installé sur des chaises longues ou allongés
sur des plaids au sol, chaussés de lunettes noires et d’un casque, le public
s’est laissé transporter dans l’univers bruyant de Boucanville …. Jusqu’au
calme reposant du bruit de la mer.
Quelle ne fut pas la déception de ne pas se retrouver sur le
sable en bord de mer – car grâce à la technique du son en 3D – on s’y croyait
vraiment !
Restitution des
ateliers : une belle performance !
Restitution ateliers Créa'sons |
Sur les bornes d’écoute, toutes les pièces étaient à
l’écoute des oreilles. Les stagiaires ont également offert au public la
restitution en live de la grenouille qui
prend le train … avec l’utilisation de tablettes, chacun a créé l’univers
sonore en direct au fil de la lecture de l’histoire.
Philippe Aubry - Cie Le Bruit qu'ça coûte |
Utopouïe
Installez-vous sous la tente, chaussez les casques pour
voyager et vous perdre en Utopouïe.
L’île d’Utopia (Utopie) du juriste et philosophe Thomas More
(1478 – 1535) était un lieu non défini, une sorte de « non-lieu
idéal ».
Le mot-valise « Utopuïe » pourrait décrire
l’écoute d’un lieu non défini, une écoute douée d’ubiquité qui permettrait
d’entendre à la fois les alentours intérieurs et extérieurs de la médiathèque
ainsi que quelques sons « fantômes ».
Histoires d’arbres.
Installation sonore et visuelle / Isabelle Lechner (images), Philippe Aubry
(montage vidéo et mise en son)
Hommage à l’un des principaux personnages de notre
environnement : l’arbre qui sculpte nos paysages visuels mais aussi
sonores en faisant sonner le vent à travers sa ramure « fontaine du
vent », comme aimait l’écrire jean Giono.
Dans cette installation, le son agit comme révélateur des
photos qui racontent, en plans larges ou en détails, des histoires inouïes …